L’anacardier, introduit en Côte d’Ivoire en 1951, avec pour principal objectif le reboisement et la protection des sols, est devenu une véritable culture de rente depuis les années 1990, du fait de la demande croissante de sa noix brute sur le marché international. Actuellement, les vergers d’anacardiers ivoiriens sont vieillissants et cela a pour inconvénient des rendements faibles en noix de cajou variant entre 350 et 500 Kg par hectare par an. Face à cette baisse de rendements des vergers, il s’avère nécessaire de mettre à la disposition des producteurs des techniques de renouvellement des vieux vergers, notamment le recépage et le surgreffage des arbres. Cette fiche technique met à la disposition des producteurs de la filière anacarde une méthode de renouvellement des vergers d’anacardiers.