Renforcement de la collaboration entre le CNRA et ses partenaires : un tournant décisif pour le service agricole en Côte d’Ivoire
La direction générale du Centre national de recherche agronomique (CNRA)
Le défi de la production et de la productivité.
La situation de crise alimentaire ces dernières années a mis en évidence la nécessité de penser des initiatives nationales pour parvenir à la sécurité alimentaire; la disponibilité de denrées alimentaires n’étant plus assurée pour les pays importateurs. Les fréquentes catastrophes naturelles dans les pays producteurs de riz ont des répercussions sur leurs capacités de production et apparaissent comme un rappel de l’urgente nécessité d’atteindre cet objectif. Il convient de signaler que la Côte d’Ivoire importe chaque année plus de 50 % de ses besoins domestiques en riz.
Plus globalement, c’est la problématique de la productivité agricole qui doit être abordée. Le système extensif, itinérant et peu productif ne pouvant prospérer, le recours à une agriculture intensive, productive et durable s’impose pour :
Dans cette perspective, des technologies encore plus performantes devront être mises au point. Néanmoins, des outils modernes de production sont disponibles et doivent être adoptés pour parvenir à une productivité agricole accrue.
Le défi des changements climatiques.
Le changement climatique constitue l’une des plus grandes préoccupations actuelles de la planète. En Afrique, les manifestations les plus connues de ce phénomène sont les sécheresses prolongées et les inondations. Ces manifestations représentent une contrainte majeure pour l’agriculture qui est essentiellement de type pluvial. L’agriculture qui constitue une source de revenus directe des populations africaines doit s’adapter aux changements climatiques par les pratiques et les technologies nouvelles générées par la recherche.
Pour la Côte d’Ivoire, il s’agit notamment de réactualiser les calendriers culturaux et établir une nouvelle carte des potentialités agricoles dans les régions où elles existent tandis que dans les zones où les cartes de potentialités n’existent pas, il faut les réaliser d’urgence.
Le défi de la valorisation des produits agricoles.
En Côte d’Ivoire, les productions agricoles sont abondantes et diversifiées. Cependant, en raison de leur faible niveau de valorisation, ces productions sont commercialisées essentiellement sous forme de matières premières. Elles subissent des dépréciations de la qualité et de la valeur marchande et d’importantes pertes post-récolte. La mise au point de technologies efficientes de conservation et de transformation constitue une opportunité d’amélioration de la disponibilité des productions agricoles, généralement saisonnières et périssables. En outre, l’apport de valeur ajoutée à ces productions ouvre des perspectives de développement agro-industriel et d’accroissement du revenu des acteurs.
Le défi de la compétitivité.
Dans le contexte prévalent de la mondialisation, les barrières tarifaires et autres droits et contingents qui régissent le commerce planétaire sont en voie de disparition. En lieu et place, des normes de qualité (sanitaire, technologique) et des législations sont édictées. L’émergence et la prévalence de ces barrières dites non tarifaires pour régir le commerce international exige une plus grande compétitivité de l’économie agricole nationale; une économie agricole avec de véritables avantages comparatifs en termes, non seulement de coûts de production, mais également de qualité des produits.
Le défi de la compétitivité.
Dans le contexte prévalent de la mondialisation, les barrières tarifaires et autres droits et contingents qui régissent le commerce planétaire sont en voie de disparition. En lieu et place, des normes de qualité (sanitaire, technologique) et des législations sont édictées. L’émergence et la prévalence de ces barrières dites non tarifaires pour régir le commerce international exige une plus grande compétitivité de l’économie agricole nationale; une économie agricole avec de véritables avantages comparatifs en termes, non seulement de coûts de production, mais également de qualité des produits.
Le défi de la valorisation des produits agricoles.
En Côte d’Ivoire, les productions agricoles sont abondantes et diversifiées. Cependant, en raison de leur faible niveau de valorisation, ces productions sont commercialisées essentiellement sous forme de matières premières. Elles subissent des dépréciations de la qualité et de la valeur marchande et d’importantes pertes post-récolte. La mise au point de technologies efficientes de conservation et de transformation constitue une opportunité d’amélioration de la disponibilité des productions agricoles, généralement saisonnières et périssables. En outre, l’apport de valeur ajoutée à ces productions ouvre des perspectives de développement agro-industriel et d’accroissement du revenu des acteurs.
Le défi de la compétitivité.
Dans le contexte prévalent de la mondialisation, les barrières tarifaires et autres droits et contingents qui régissent le commerce planétaire sont en voie de disparition. En lieu et place, des normes de qualité (sanitaire, technologique) et des législations sont édictées. L’émergence et la prévalence de ces barrières dites non tarifaires pour régir le commerce international exige une plus grande compétitivité de l’économie agricole nationale; une économie agricole avec de véritables avantages comparatifs en termes, non seulement de coûts de production, mais également de qualité des produits.
Le défi des changements climatiques.
Le changement climatique constitue l’une des plus grandes préoccupations actuelles de la planète. En Afrique, les manifestations les plus connues de ce phénomène sont les sécheresses prolongées et les inondations. Ces manifestations représentent une contrainte majeure pour l’agriculture qui est essentiellement de type pluvial. L’agriculture qui constitue une source de revenus directe des populations africaines doit s’adapter aux changements climatiques par les pratiques et les technologies nouvelles générées par la recherche.
Pour la Côte d’Ivoire, il s’agit notamment de réactualiser les calendriers culturaux et établir une nouvelle carte des potentialités agricoles dans les régions où elles existent tandis que dans les zones où les cartes de potentialités n’existent pas, il faut les réaliser d’urgence.
Le défi de la valorisation des produits agricoles.
En Côte d’Ivoire, les productions agricoles sont abondantes et diversifiées. Cependant, en raison de leur faible niveau de valorisation, ces productions sont commercialisées essentiellement sous forme de matières premières. Elles subissent des dépréciations de la qualité et de la valeur marchande et d’importantes pertes post-récolte. La mise au point de technologies efficientes de conservation et de transformation constitue une opportunité d’amélioration de la disponibilité des productions agricoles, généralement saisonnières et périssables. En outre, l’apport de valeur ajoutée à ces productions ouvre des perspectives de développement agro-industriel et d’accroissement du revenu des acteurs.
Le défi de la compétitivité.
Dans le contexte prévalent de la mondialisation, les barrières tarifaires et autres droits et contingents qui régissent le commerce planétaire sont en voie de disparition. En lieu et place, des normes de qualité (sanitaire, technologique) et des législations sont édictées. L’émergence et la prévalence de ces barrières dites non tarifaires pour régir le commerce international exige une plus grande compétitivité de l’économie agricole nationale; une économie agricole avec de véritables avantages comparatifs en termes, non seulement de coûts de production, mais également de qualité des produits.