En Côte d’Ivoire, la culture de l’anacardier revêt d’une importance capitale pour sa valeur économique et nutritionnelle. Le pays demeure le premier producteur et exportateur mondial de noix brutes de cajou. Malgré cette performance, la cajouculture ivoirienne fait face à plusieurs limites dont la faiblesse des rendements. Cette faiblesse de rendement des vergers est la résultante de plusieurs contraintes dont la pression parasitaire.L’objectif de la présente fiche technique est de fournir des outils en vue d’améliorer la gestion des nuisibles en cajouculture.
Cible : la fiche est destinée aux agents de vulgarisation agricoles, aux étudiants, aux ingénieurs agronomes, aux chercheurs et aux producteurs.